Le long des routes et des jours, la présence de Paul se dessine. Parfois au détour d’une coline, parfois dans le craquement des brindilles, ou dans l’inscription sans détour d’une pierre tombale qui accroche mon regard. Parfois, volontairement, je remplis mes poumons de l’odeur de la mer et du crépitement du feu pour la sentir m’habiter.
Et puis parfois, c’est le papa de Paul qui inscrit sa présence dans l’air du petit matin…