ma petite lentille
tu as beaucoup poussé
tu te fais sentir
de plus en plus fort
de plus en plus souvent
tes mouvements
rappels de ta présence
me centrent
me recentrent
m’émeuvent
au milieu du chaos
et des incertitudes
ils me donnent une raison
de rester debout, d’avancer
d’affronter mes peurs
ils me donnent le courage
de penser à l’avenir
de croire que le bonheur
comme mon amour
saura éclore pour toi
bébé de mai
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ps. ton papa et moi, on t’a acheté un petit pyjama
pour nous aider à croire que dans cinq mois, tu seras dans nos bras.
Aaaaaaw… C’est si touchant! Gogogo, pètes-leur la gueule à ces peurs! (Ben quoi, la violence envers les personnes, je suis contre, mais la violence envers les peurs… J’ai l’impression que c’est pas une mauvaise chose!)
J’ai des approches variées selon le type de peur. Certaines, faut en effet leur péter la gueule. D’autres, j’ai pas le choix, il faut que je les apprivoise, que je leur apprenne à rester sages…
Très sage comme réponse! J’adore! 🙂
Ping : il y a deux ans | le marcassin envolé