Juste comme ça, sans avertissement, des photos d’enfants qui entrent en deuxième année apparaissent à l’écran. L’air confiant de ceux et celles qui connaissent déjà un peu ça, l’école, et même l’école version masque-purel-et-bulle-classe. Juste comme ça, sans avertissement, ça me rentre dedans comme un coup de poing dans le ventre. La tristesse qui se fait tranquille ces jours-ci me monte dans la gorge.
Il manquera un enfant dans la classe de deuxième année. Mon enfant, mon bébé.
